Le film de Julia Ducournau a secoué la Croisette…
Sélectionné à la Semaine de la Critique, Grave a remporté le prix FIPRESCI des sélections parallèles (fédération de 300 critiques internationaux).
Sensibles aux charmes du film de Julia Ducournau les journalistes du monde entier y ont vu « une bombe métaphorique » (Télérama), « le film le plus sanglant et le plus décoiffant de la Croisette » (Sofilm) ou bien encore « le film choc de la Croisette » (Le Point).
Certains l’ont comparé à du « David Cronenberg première période » (Die Tageszeitung et Otros Cines), quand d’autres y ont vu « une sorte de Massacre à la Tronçonneuse mêlée à un film pour adolescents » (Hollywood Reporter) ou une « fable féministe délicieusement moderne et sauvage » (Little White Lies, UK).
Un film « résolument original » (Frowning, UK) « stylistiquement riche et super macabre » (Screen International), décrit comme étant une « histoire du passage à l’âge adulte surréaliste et tordue » (Indiewire), et un « examen sanglant de la féminité, de l’éveil sexuel et des rapports entre sœurs » (Sight and Sound, UK).
Dans le rôle-titre, Garance Marillier a elle aussi impressionné la critique : elle y est « excellente, interprétant avec subtilité et assurance le personnage de Justine » (Sight and Sound, UK).
Julia Ducournau est donc une « vraie révélation » (Cineuropa), dont le premier long-métrage « saisissant, une véritable claque dont l’approche esthétique impressionne littéralement les sens » (Un Grand Moment de Cinéma, Belgique), un « savoureux tartare » (Screen International) qui « devrait plaire à tous les fans de films d’horreur » (Indiewire).
En résumé, Grave a été « la plus grande découverte du Festival » (The Independent, UK) et un film « à ne pas rater » (Cineuropa) venant d’une « brillante cinéaste en devenir » (Variety).